lundi 29 décembre 2008

Barkatu deneri, arazo tekniko batengatik azken mezuak ez dira agertu blog-an beraz berant jasotzen duzue mezu hau eta abenduaren azken ostiraleko deia ez da agertu.

Voila un compte rendu de txalaparta irratia sur le proces des 11 militants politiques basques , dont Lorentxa Guimon et Claude Recart soutenus par le comité de Bayonne.

Tribunal de Grande Instance de Paris-Cour d’Assises Spéciale- Procès de 11 militants politiques basques


Depuis mardi 9 décembre 2008, s’est déroulée une nouvelle parodie de procès ayant, pour objectif, comme le passé l’a démontré de façon systématique et comme cela vient d’être confirmé, de condamner des militants politiques basques.


Au banc des accusés :


- Ismael Berasategui Escudero.

- Iñaki Esparza Luri.

- Igor Letona Biteri

- Mikel Uzkudun Lizaur

- Mikel Illaramendi Zabaleta

- Jose Candido Sagarzazu Gomez

- Inociencio Soria Valderrama

- Jose Campo Barandiaran

- Iñigo Elizegi Erbiti

-Laurenxa Guimon


Ainsi que Claude Recart, comparaissant libre.


Les deux premiers jours se sont déroulés presqu’à l’identique. Le mardi matin, devant une salle pleine, et après l’appel des prévenus, a commencé la lecture de l’acte d’accusation. A la reprise de l’après-midi, les preso ont refusé une nouvelle fouille (ils en avaient eu une première le matin et n’avaient pas quitté le Palais de justice depuis) avant de rentrer dans la salle d’audience. Constat d’huissier fait, le Président du tribunal décide de reprendre la séance sans les preso. Protestations du public qui, debout le poing levé, entame le « Chant du Gudari ». Interruption de séance. Le public sort et décide de ne pas revenir en solidarité avec les preso. Le procès continue.


Le mercredi matin, l’audience reprend en présence des preso, ceux-ci, comme la veille, ayant accepté la fouille à l’arrivée. Fin de la lecture de l’acte d’accusation et résumé, par le Président des 44 chefs d’accusation concernant chacun un ou plusieurs accusés. Le magistrat donne la parole aux accusés et c’est Jose Campo qui prend la parole dans une déclaration qui a été l’élément le plus important à retenir de ce procès.


« Vous pourrez nous condamner, mais vous ne pouvez pas nous juger ! »


« Vous nous avez amenés dans cette salle pour nous juger au nom du Peuple français. Avant tout, nous voulons vous avertir que votre tâche relève de l’impossible et que tous vos efforts seront peine perdue, parce que nous, combattants basques, avons décidé volontairement de donner le meilleur de nous-mêmes, et c’est le Peuple basque, et lui seul, qui peut nous juger. Vous, magistrats de la République française, vous pouvez nous condamner, même lourdement comme vous avez pris l’habitude de le faire, mais vous ne pourrez jamais nous juger.


Cependant, profitant de l’occasion qui nous est donnée, nous voudrions nous adresser au Peuple français dont vous êtes les représentants dans cette Cour, afin d’éclaircir quelques réalités qui lui sont occultées.


Tout d’abord, nous voulons souligner que ce qui nous a amené à lutter par les armes, c’est l’existence d’un conflit entre notre Pays, Euskal Herria, et le Royaume d’Espagne ainsi que la République française. Ce conflit étant de nature politique, sa résolution ne viendra que par la mise en place de mesures politiques accordées lors d’un processus de négociation qui impliquera tous les acteurs sans aucune exclusion.


Au Pays Basque il existe déjà un large consensus autour des points minima pour qu’un tel accord ait lieu : la reconnaissance du Droit à l’Autodétermination, pour l’ensemble des citoyens, et la reconnaissance du territoire basque dans son ensemble, par delà les frontières administratives et étatiques. Ce sont des points incontournables de nature absolument démocratique.


Une des sources du conflit politique réside dans la négation systématique faite aux citoyens basques d’exprimer en toute liberté leur choix politique pour leur Pays. Choix nié actuellement tant par la Constitution espagnole qui vient de fêter ses 30 ans, que par la Constitution française.

-Laisser s’exprimer et décider les citoyens basques en toute liberté.

-Garantir le respect de leur choix une fois celui-ci exprimé.

Voilà les raisons de notre lutte.

Voilà les raisons de notre paix.


Nous, prisonniers politiques basques, nous sommes des otages de la France et de l’Espagne. En ce moment nous sommes plus de 750 dispersés dans vos geôles. Et nous savons que tant que les dirigeants de États qui oppriment notre Pays ne se résoudront pas à marcher dans la voie du dialogue et de la négociation, il y aura des Basques qui lutteront pour leur patrie, comme le font partout dans le monde les citoyens qui résistent à l’envahisseur de leur terre, comme l’ont fait les citoyens français devant les nazis ou comme l’ont fait les fellagha algériens devant vos forces armées.


Nous savons que le dernier prisonnier politique basque sortira libre le jour où la résolution de l’actuel conflit sera en voie de résolution. Nous sommes les premiers à souhaiter que ce jour arrive.


Nous, combattants basques, nous sommes fiers de notre combat, d’avoir répondu à l’obligation de tout un chacun à défendre son Pays avec toutes les armes à notre disposition. L’organisation Euskadi Ta Askatasuna (Pays Basque et Liberté) nous a donné cette occasion et nous sommes fiers de l’avoir acceptée, malgré tous les efforts et sacrifices que cela comporte. La liberté de demain vaut les souffrances d’aujourd’hui.


La République française, comme tous les États impérialistes, a éduqué ses citoyens à regarder au loin. Qui n’a pas vu la France s’insurger sur le sort des Tibétains soumis à la toute puissante Chine ? Alors qu’elle reste aveugle devant ce qui se passe à l’intérieur de ses frontières imposées, au Pays Basque, en Corse, en Polynésie, en Bretagne.

D’autre part, ces mêmes citoyens, quand ils regardent au loin, sont incapables de voir, de comprendre les changements politiques qui sont en train de s’opérer dans le monde et même près de chez eux, ici en Europe. Les différents processus d’indépendance qui ont eu lieu en Europe et qui se dessinent dans un avenir proche, donnent raison à notre lutte.


Avant-hier, c’était le tour des Républiques baltes, hier l’ex-Yougoslavie a donné naissance à de nouvelles entités qui font partie de l‘Europe au même titre que la France, ou qui le feront prochainement. Demain ce sera probablement le tour de l’Écosse, du Groenland. C’est l’avenir qui attend les Basques, les Catalans, les Corses et les autres peuples, grâce à nos luttes. Parce que la grandeur ne se mesure pas en kilomètres carrés, ni en nombre d’habitants, et encore moins en pays et territoires conquis, colonisés, et en êtres humains obligés à renier leur propre culture.


Nous voudrions que vous fassiez part de tout ceci au Peuple français que vous dites représenter.


Nous voudrions dénoncer fermement la répression de l’État français contre le Pays Basque, interdisant notre langue, empêchant que notre culture puisse se développer normalement, que nous puissions profiter de nos ressources naturelles et économiques en liberté et en solidarité avec nos voisins. Nous dénonçons particulièrement la politique du tout répressif contre les citoyens basques qui ne fait que remplir les prisons françaises.


Quant à nous, nous refusons de participer à cet acte prétendument judiciaire où tout est décidé d’avance.


Vous pouvez nous condamner, mais vous ne pourrez pas nous juger.


Tant que votre répression ne s’arrêtera pas, vous n’aurez que l’expression de notre profond mépris.


- Autodétermination pour le Pays Basque !
- Amnistie pour les prisonniers politiques basques !
- Gora Euskal Herria askatuta !
- Gora Euskal Herria sozialista !
- Gora ETA ! »


Il ne s’agit pas là seulement d’un message particulièrement clair et précis adressé aux autorités françaises, en son nom propre et au nom de ses camarades présents. C’est un message politique particulièrement important, grave et sérieux, que ces mêmes autorités françaises feraient mieux d’entendre et de prendre en compte, plutôt que de continuer à se boucher les yeux et les oreilles.


La fin de sa déclaration entraîne les applaudissements du public qui manifeste ainsi avec force sa solidarité avec ce qui vient d’être dit. Chant du Gudari. Interruption de séance.


La séance de l’après-midi reprend sans les preso, ceux-ci ayant refusé, comme la veille, de se soumettre à une deuxième fouille. Le public, averti avant même d’avoir pu pénétrer, décide de ne pas suivre les débats dans de telles conditions.


Jeudi 11 décembre, troisième jour de procès. Durant la matinée, les experts se succèdent à la barre : armes, dispositifs électroniques et explosifs, etc...


Avant de lever la séance, le Président indique qu’il a, avec l’Avocat général, recherché une solution au problème des doubles fouilles, leur hiérarchies respectives ayant été informées. Il espère que tout va rentrer dans l’ordre rapidement. Jose Campo répond que les preso ont fait plusieurs propositions, allant même jusqu’à suggérer de rester dans la salle d’audience pour manger. Il précise que si les preso refusent de participer aux débats, ils désirent néanmoins y assister.


A la reprise, le public pénètre dans la salle et attend….attend…


Finalement le Président ouvre la séance et annonce que les preso refusent de rentrer (en vérité de se soumettre à une double fouille). Le public se lève et, une nouvelle fois entonne le Chant du Gudari avant de quitter la salle. Interruption de séance. Le procès reprendra une nouvelle fois sans les accusés et sans le public.


Vendredi 12 décembre, quatrième jour. Arrivé du Pays Basque, en bus (à partir d’Iruñea) et par le train, un public nombreux (environ une centaine de personnes) s’est présenté à l’entrée de la salle. Peu ont pu pénétrer dès l’ouverture de la salle, et c’est par roulement et pour un court instant que les personnes ayant fait un si long déplacement ont pu venir saluer les leurs.


Contrairement aux autres jours, la défense a pu obtenir du Président la prolongation de la séance du matin et la suppression de la séance de l’après-midi, ce qui a permis de résoudre le problème de la deuxième fouille. Vers deux heures, l’audience a été suspendue jusqu’à lundi et une puissante acclamation du public, dans et hors de la salle a salué les preso.


Le nombre des preso dans les prisons françaises n’a jamais été aussi grand que ces temps derniers, les procès de plus en plus durs et nombreux et, malgré tout cela, la mobilisation pour le soutien aux prisonniers ne faiblit pas. C’est le constat objectif qui a pu être fait ce jour là tout particulièrement.


Lundi 15 décembre, cinquième jour. Une seule séance, entièrement consacrée à l’examen du CV de chacun des accusés. Les accusés continuent de refuser de s’exprimer et refusent même de s’identifier quand le Président s’adresse à l’un d’eux en particulier. Comble de malchance : les accusés ont changé de place par rapport au premier jour. Incapable de mettre un visage sur un nom, il décide que pour le lendemain ils devront être remis à leur place initiale.


Comme à l’accoutumée, la lecture des CV est édifiante. Un véritable inventaire à la Prévert. On y retrouve des éléments provenant d’autres procès, des « informations-accusations » de la police espagnole, des secrets médicaux et familiaux, etc.…Tout est bon à prendre pour accabler un peu plus les accusés. Le mot « indécence » est inconnu de la Police comme de la « Justice »


Mardi 16 décembre, sixième jour. Entièrement réservé à l’Avocat Général, Christophe Tessier. Égal à lui-même, il met la barre toujours plus haut, comme on peut s’y attendre et comme on le lui demande sans aucun doute. Mais quand on connaît un peu l’individu, il ne fait aucun doute que sa hiérarchie n’a pas besoin de lui donner des instructions pour qu’il agisse ainsi. Réquisitions extravagantes.


Mercredi 17 décembre, septième et dernier jour. Plaidoiries des avocates, délibéré et verdict.

La défense dénonce-une nouvelle fois- le caractère exorbitant des réquisitions, le vide des dossiers, le caractère politique du procès, l’attente d’un geste d’ouverture qui ne vient jamais. Une nouvelle fois, une fois de plus, une fois de trop.


Quand la délibération est finie et que la séance est ouverte pour en terminer, les preso ne sont pas là. Contrairement à ce que diffuse l’AFP, non pas parce qu’ils ont « refusé d’entendre le verdict », mais parce qu’ils ont refusé une nouvelle fouille avant de re-pénétrer dans la salle.

A voix basse et sans micro, le Président annonce les condamnations, apportant quelques corrections à la plupart des réquisitions:


  • Laurenxa Guimon : 17 ans, avec confusion des peines pour 2 dossiers (Réquisitoire ; 20 ans + incompressibilité 2/3)

  • Iñaki Ezparza Luri : 19 ans (au lieu de 20 + 2/3)

  • Iñigo Elizegi Erbiti : 15 ans (au lieu de 20+2/3)

  • Jose Candido Sagarzazu Gomez : 10 ans (au lieu de 14+2/3)

  • Mikel Illaramendi Zabaleta : 10 ans (au lieu de 12+2/3)

  • Jose Campo Barandiaran : 10 ans avec confusion des peines pour 2 dossiers (au lieu de 11+2/3)

  • Innociencio Soria Valderrama : 10 ans (demande identique +2/3)

  • Mikel Uzkudun Lizaur : 6 ans (au lieude 7+2/3)

  • Ismael Berasategi : 6 ans (au lieu de 7+2/3)

  • Igor Letona Biteri : 6 ans (au lieu de 7+2/3)

  • Claude Recart : 3 ans (au lieu de 5)


Pour les condamnés n’ayant pas la citoyenneté française (tous sauf Laurenxa et Claude) , une peine supplémentaire : interdiction définitive du territoire français.


*

* *

Il n’y avait rien à attendre de positif de ce procès. Nous en avons eu la confirmation. L’objectif visé par l’État français a été atteint au terme d’une nouvelle mascarade qui n’avait de procès que le nom : de nouvelles condamnations de Résistants basques, qui n’auront comme seul effet que de durcir un conflit qui n’a que trop duré, un conflit pouvant être réglé facilement, mais que des politiques irresponsables veulent poursuivre à tout prix et par tous les moyens, au nom du Nationalisme dominateur (français et espagnol), au mépris de la Démocratie et du Droit d’un Peuple, du Peuple Basque, à disposer de lui-même. Un seul élément est à retenir et à méditer : la déclaration faite par les accusés : un appel à la Paix et à la Démocratie, un appel à la Résistance pour y parvenir.


Correspondance Txalaparta Irratia








dimanche 30 novembre 2008

bertsoz, askatasuna !

Baionako Gazte Asanbladak Antolaturik

AZAROAK 30 Novembre

BERTSO BAZKARIA

(Ekhi Erremundegi, Eneritz Zabaleta)

Lorentxa Guimon eta Claude Recarten alde


POLO Auzoan

La FERMEn

Baionako kideak , Lorentxa Guimon eta Claude Recart

epaituak izango dira Abenduaren 9tik 19arte Parisen beste 9 euskal preso politikoekin .


ERREPRESIOA EZ DA BIDEA!!!

EUSKAL PRESOAK GAZTETXEETARA!!!

jeudi 27 novembre 2008

hier rassemblement à Bayonne ! utzi bakean euskal herria !

source : le journal du pays Basque

Pays Basque

Arrestation d'un mineur de 17 ans à Armendarits

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27/11/2008

Hier matin, un jeune mineur de 17 ans, a été arrêté par la Gendarmerie à son domicile à Armendarits, en Basse-Navarre. Celui-ci a été la cible d'une perquisition, puis le jeune a été transféré à la Gendarmerie du quartier Marracq à Bayonne, où il a pu être assisté de son avocat.

Le dossier serait lié à sa participation éventuelle à une manifestation, en novembre 2007, appelée par le mouvement Askatasuna et qui avait réuni 1 500 personnes contre les opérations policières alors en cours ayant conduit à l'arrestation d'une dizaine de personnes et dénonçant l'isolement des prisonniers, quelques jours après la tentative de suicide de l'un des jeunes inculpés, Joan Bidart. Quelques légères échauffourées avaient eu lieu en fin de manifestation. Suite à celles-ci, plusieurs mineurs avaient été convoqués par la Gendarmerie. Deux rassemblements ont eu lieu hier soir, devant la Gendarmerie d'Irrissarry et devant celle de Marracq à Bayonne.

mercredi 19 novembre 2008

ETXERAT !


URTARRILAK 3 DENOK BILBORAT ! NAZIO MANIFESTALDIA !

ETXERAT euskal preso eta iheslari politikoen senideen elkartea

750 euskal preso politiko espainiar eta frantziar espetxeetan sakabanatuak
14 preso politiko oso gaixotasun larriekin giltzapean
26 preso politiko espetxe zigorra bete ondoren kondena luzatu diotenak
50 preso politiko bakartuak

Senideok astero milaka kilometro egitera behartuak gaude gureak ikusteko
HERiOTZA ZIGORRIK EZ !
BIZIARTEKO ZIGORRIK EZ !
Eskubide guztien jabe euskal presoak euskal herrira

Azken ostirala elgarretaratzea
chaque dernier vendredi du mois, rassemblement en faveur des droits des prisonnier-e-s politiques basques.

en novembre c'est devant la gare de Bayonne
Azaroan konzentrazioa dago Baionako trein geltokiaren aintzinean
18H30 AZAROAK 28 novembre


Euskal Presoak Etxerat!!


dimanche 16 novembre 2008

Jon Barrena "Kaballo"

___________________________

Josu Arkauz euskal preso politikoaren koinatua

---Arrasateko amnistiaren aldeko mugimendua---

doluminak , baionatik.

mercredi 12 novembre 2008

AZAROAK 16 novembre
APERO PINTXO !
à partir de midi EGUERDIETAN
à EpaiskaN
RUE PANNECAU KARRIKAN
PRESO BAT ! EGUNKARI BAT !
Askatasuna Baiona

mercredi 5 novembre 2008

Hier forte mobilisation à Bayonne ! la meilleure arme c'est la solidarité !


on vous inclus un article du journal du pays basque : Le JPB

Pays Basque

Cinquième vague d'arrestations en lien avec les bars abertzale

05/11/2008

Goizeder Taberna

Cette fois la perquisition a été rapide. Rien à voir avec les fouilles réalisées lors des dernières arrestations du 24 septembre, en relation, en partie, avec le financement de la mouvance abertzale. L'arrestation de onze personnes, hier, est également liée à cette enquête et concerne les bars associatifs Xilko (Bayonne), Tana (Ciboure) et Kalaka (Saint-Jean-Pied-de-Port).

Dirigée par la Juge Laurence Le Vert du Parquet de Paris, l'opération a touché les personnes suivantes : Ortzi Idoate (libéré), Luis Barriola (libéré), Jeronimo Prieto (libéré), Gorka Ariszaga (libéré) et Txomin Irazoki (libéré), Stéphane Blondel (libéré), Popol Arranbide (libéré), Matias Urretxu, Karmele Torre, Jon Irazola, et Zigor Goieaskoetxea.

Ce dernier avait déjà été arrêté le 13 octobre, dans le cadre de l'opération menée contre les membres de Batasuna, le 24 septembre. Une opération qui a également provoqué l'arrestation du lekondar I. Irazola.

Enquête préliminaire

Hier, les arrestations ont été menées par des policiers de la sous-direction antiterroriste (SDAT), de l'Office Central pour la Répression de la Grande Délinquance Financière (OCRGDF) en charge du volet répressif de la lutte contre le blanchiment, et de la police judiciaire de Bordeaux.

Les policiers ont agi dans le cadre d'une enquête préliminaire, visant des faits de financement du terrorisme, conduite sous la houlette de la section antiterroriste du parquet de Paris.

Cette enquête vise notamment à déterminer si certains bars, au Pays Basque, ont pu bénéficier de fonds occultes provenant de l'organisation indépendantiste basque armée ETA, d'après l'AFP.

Les arrestations du 24 septembre, étaient fondées sur les mêmes bases, et, aussi bien hier qu'alors, les enquêteurs faisaient allusion, dans le cas de certaines arrestations, aux attentats commis dans le complexe hôtelier Ostape de Bidarray. Les mêmes motifs avaient été avancés pour arrêter une dizaine de Bas-navarrais quelques jours plus tôt et lors de l'opération contre le bar associatif Kalaka de septembre 2007. Quelques semaines plus tard, la police avait perquisitionné les bars Kanttu (Hendaye), Tana et Xilko. Au total, cinq opérations policières ont donc touché ces bars.

Dans l'opération d'hier, trois personnes ont été mises en relation avec le Tana : G. Arizsaga, T. Irazoki et Z. Goieaskoetxea. Quant à J. Prieto, L. Barriola et O. Idoate, on les lie au Xilko.

«Un parti légal»

En réaction à ces arrestations, Didier Borotra, maire de Biarritz, a rappelé que «personne n'est au-dessus des lois», mais qu'il restait «vigilant». Il a ajouté que tant qu'il n'y a pas de preuve, «Batasuna est un parti légal».

Suite à l'appel d'Askatasuna, plusieurs rassemblements ont eu lieu dans les communes suivantes : Ascain (70), Hasparren (100), Biarritz (60), Hendaye (60), Bayonne (100).

mardi 4 novembre 2008

demain- bihar hitzorduak

demain mercredi rassemblement devant la mairie de Bayonne 18h30;
le bar AitaSemeak sera ouvert comme d'habitude vous pouvez passer y apporter votre soutien et vous informer des dernières nouvelles

LA REPRESSION N EST PAS LA SOLUTION ! LIBEREZ LES !

bihar, asteazkena Baionako Herriko Etxearen Aintzinean arratsaldeko 6ak ta erdietan konzentrazioa izango da. Bihar AitaSeameak ostatua idekia izango da, egunero bezala : ostatutik pasatzen ahal zarete azken berriak ukaitea. Zure sustengua ongi etorria da!

ERREPRESIOA EZ DA BIDEA! ATXILOTUAK ASKATU !

encore un raffle au pays basque !

source eitb.com:

Nouvelle opération policière contre des militants basques

avatar eitb.com - publiée il y a 12 heures | Commentaires
Une dizaine de militants basques ont été interpellés à plusieurs endroits en Pays Basque nord dans la nuit de lundi à mardi. Les interpellations seraient en rapport avec des bars de Ciboure, Hendaye et Bayonne.

bar Aita Semeak de Baiona

Les interpellations seraient en rapport avec des bars de Ciboure, Hendaye et Bayonne. Photo: EFE

Plusieurs militants basques ont été interpellés à plusieurs endroits en Pays Basque nord dans la nuit de lundi à mardi. Tous les détenus ont été mis en garde à vue à Bayonne par les enquêteurs de la Sous-direction antiterroriste (SDAT) et de l'Office central de répression de la grande délinquance financière (OCRGDF).

Selon le comité de soutien aux prisonniers basques Askatasuna la gendarmerie a arrêté le dirigeant de Batasuna Zigor Goieaskoetxea à Biarritz, Luis Barriola et son épouse Vivian Borgognat à Anglet, Ortzi Idoate et Jeronimo Prieto à Bonloc, et Gorka Aritzaga à Ascain. La police a également arrêté Stéphane Blondel et a perquisitionné son domicile à Hendaye, a-t-on appris de même source. A Hasparren, Matias Urretxu et son épouse Karmele Torre ont été interpellées.

Selon le comité de soutien, les interpellations interviennent dans le cadre de l'information judiciaire ouverte après l'attentat perpétré le 11 juin 2006 contre l'établissement du chef Alain Ducasse à Bidarray et le financement présumé d'actes de violence par plusieurs bars, notamment des bars de Ciboure, Hendaye et Bayonne, .

Le 13 octobre dernier, Zigor Goieaskoetxea avait été interpellé dans le cadre de cette enquête puis remis en liberté sans charges deux jours plus tard, alors que le 24 septembre dernier, 14 membres du parti indépendantiste basque Batasuna avaient été placés en garde à vue puis laissés libres sans charge dans le cadre d'une vaste opération policière.

Après cette opération, le 27 septembre, des milliers de personnes avaient manifesté à Bayonne pour dénoncer les interpellations. Xabi Larralde, porte-parole de Batasuna, interdit en Espagne depuis 2003 mais pas en France, a accusé à plusieures reprises la France de mettre en branle l'interdiction sur son sol de Batasuna, comme le souhaiteraient les autorités espagnoles.

Askatasuna a dénoncé "la suite du montage policier qui depuis un ansemble être un outil bien pratique dans le travail de harcèlement desmilitants par les juges anti-terroristes parisiens" et a appelé à plusieurs rassemblements "dans les heures et les jours qui viennent".

Des rassemblements sont prévus ce mardi soir à 18h30, à Biarritz, Hasparren et Bayonne (place Saint André), et à 19h00 à Hendaye et Ascain.

vendredi 31 octobre 2008

ELKARTASUN EGUNA 08

ELKARTASUN EGUNA 08

journée de solidarité

àIRULEGIn

AZAROAK 8 novembre / larunbata samedi

20.00 : aperitifa alaitua aperitif

KAPTAIN EGURRAK – BELTZEZ- HAURTZARRAK- ZEIN ERE- PIARRES

AZAROAK 9 novembre/ igandea dimanche

12.00 : Bazkari alaitua. repas 17.00 : Ekitaldia meeting et après concert ondotik NAT & WATSON

ASKI DA ! mespretxutik.....onarpenera !





Libération des prisonniers malades !

Libération des prisonniers malades !

La prison est à l’origine de nombreuses maladies : l’assistance médicale réduite , le manque d’intérêt des responsables, l’absence de prévention, les analyses et diagnostics tardifs, le risque d’infection multiplié par la promiscuité en sont les principales causes.

Cette situation est d’autant plus préoccupante pour nos proches prisonniers politiques basques qui subissent une politique pénitentiaire particulière :

- la limitation voire la négation de la possibilité de faire appel à un médecin de confiance.

- L’insuffisance de collaboration entre médecins des prisons et fonctionnaires

- Les déplacements à l’hôpital dans de mauvaises conditions

- La politique d’éloignement et de dispersion

- L’isolement imposé à nombre d’entre eux

Nous exigeons le droit à la santé pour nos proches incarcérés !

Parmi les prisonniers malades ou connaissant des problèmes de santé, certains, 14 pour être précis, sont atteints de maladies graves ou incurables. Ils souffrent de troubles psychotiques, épilepsie, diabète aggravé, cancer ou affections cardiaques graves.

Toutes les demandes de mise en liberté on reçu une même réponse : le refus. Les tribunaux et les prisons refusent systématiquement aux prisonniers malades leur droit, celui d’être libéré.

Nous familles , nous exigeons la libération immédiate des prisonniers gravement malades !

Nous faisons appel à la société basque afin qu’elle mette tout en œuvre pour que le droit à la libération anticipée soit appliqué à nos proches incarcérés gravement malades.

www.etxerat.info

vendredi 24 octobre 2008

HITZORDUAK - rendez vous-

Azken ostirala elgarretaratzea
chaque dernier vendredi du mois, rassemblement en faveur des prisonnier-e-s politiques basques.

devant la gare de Bayonne
Baionako trein geltokiaren aintzinean

18H30 URRIAK 31 octobre

Euskal Presoak Etxerat!!





HITZORDUAK - rendez vous-

URRIAK 26 octobre
APERO PINTXO !
à partir de midi
EGUERDIETAN
à Epaiska
N
RUE PANNECAU
KARRIKAN
PRESO BAT ! EGUNKARI BAT !

mardi 30 septembre 2008

URTE BAT BORROKAN

Askatasuna a annoncé la libération , aprés un an d'incarcération provisoire , de Mizel Barnetxe, Pantxo Flores et Xabier Susperregi qui est soutenu par le comité d'Askatasuna Bayonne.

inclus l'article du Journal du Pays Basque du 30.09.2008:

Les derniers rebondissements de l’affaire Kalaka

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30/09/2008

G.T.


Ils sont finalement tous libérés. Toutes les personnes arrêtées ou emprisonnées dans le dossier judiciaire concernant l’attentat contre le complexe hôtelier Ostape de Bidarray sont plus ou moins libres. Hier, Mizel Barnetxe, Pantxo Flores et Xabier Susperregi ont quitté leur cellule respective, un après avoir été interpellés. La semaine dernière, c’était au tour de Cédric Garay et des onze personnes arrêtées dans l’opération contre Batasuna.

Cependant, les personnes incarcérées pendant un an, lors de l’opération contre le bar Kalaka devront remplir certaines conditions. Du moins, Cédric Garay et Pantxo Flores sont interdits de résider dans le département des Pyrénées-Atlantiques. Garay s’est vu également attribuer une longue liste de personnes à ne pas fréquenter. Lors de sa libération, Joan Bidart, impliqué dans la même affaire, avait lui été mis en liberté conditionnelle.

Ces cinq personnes incarcérées en septembre 2007 ont reçu le soutien de la population, dans une manifestation qui a réuni près de 1 000 personnes, dans la capitale bas-navarraise, le 20 septembre.


2 000 personnes à Bayonne
Judiciairement impliquées dans la même affaire, les personnes interpellées mercredi dernier ont aussi reçu la solidarité de la population. Près de 2 000 personnes ont manifesté samedi dernier, dans les rues de Bayonne. Un nombre inhabituel pour ce genre de cause, alors qu’à la frontière un barrage filtrant rigoureux, a empêché les personnes venues du sud de se joindre à la manifestation.
“Reconnaissez et respectez le Pays Basque ; le peuple va de l’avant, Batasuna va de l’avant”, disait la banderole placée devant le cortège. Entourés par de nombreux CRS et agent des forces de l’ordre, les manifestants sont arrivés devant le siège du parti visé deux jours plus tôt, à la rue des Cordeliers.

Les drapeaux de Batasuna, le navarrais et l’ikurriña ont alors été hissés à la fenêtre du siège. Le porte-parole Xabi Larralde, a dénoncé la volonté de l’Etat français d’illégaliser Batasuna et a défendu le droit à la diversité politique. “Tout le mouvement abertzale est devenu la cible” de la répression a souligné Larralde. Selon lui, l’Etat français est “le dernier état centraliste” d’Europe.

Néanmoins, le membre du bureau politique de Batasuna croit en un autre temps dans lequel, comme l’a été le Sinn Fein en Irlande, Batasuna sera réhabilité dans le paysage politique.

Le soir, pendant le match de rugby entre Bayonne et Toulon, des personnes sont entrées dans le terrain et ont exhibé une banderole qui portait l’inscription suivante : “Dans le pays des droits de l’Homme, on interdit un parti politique”. Les trois ont fini au poste de police et y ont été convoqués hier. L’affaire est sans suite.

vous pouvez suivre les dernières nouvelles du Pays Basque sur le site :www.lejpb.com

dimanche 14 septembre 2008

APERO-PINTXO

SOUTIEN AUX PRISONNIER-E-S POLITIQUES BASQUES :

APERO PINTXO

AU LOCAL D’ EPAISKAN

Rue pannecau karrikan

IRAILAK 21 septembre 08

EGUERDITAN à PARTIR DE Midi

Preso bat egunkari bat !

BESTA BAI ! BORROKA ERE BAI !

mercredi 23 juillet 2008

rendez vous - hitzorduak !!!!!!!!!ANIMO!!!!!!!!

EUSKAL PRESOAK ETXERAT ! AZKEN OSTIRALAren mobilizazioa UZTAILAK 25 JUILLET
DERNIER VENDREDI DU MOIS rassemblement en faveur du respect des droits des prisonnier-e-s politiques basques.18 H30 devant la mairie de bayonne / Baionako Herriko etxearen aintzinean .

UZTAILAK 27 JUILLET :
LifeguardDENOK HONDARTZARAt ! tous et toutes à la plage !
euskal presoak euskal herrirat ! udako mobilizazioa / mobilisation de l'été : regroupement des prisonnier-e-s politiques basques !
hendaia /hendaye: 12h CASINOn hitzordua -rdv
Donibane Lohitzune/ St Jean de luz: 12h Itsasargian- phare hitzordua-rdv

BAIONAKO BESTAK fetes de bayonne : Braderie ! Salmenta! nouvelle collection d'Askatasuna moda berria! 10h devant Epaiskaren aintzinean UZTAILAK 29 JUILLET.
IGANDEAN ABUZTUAK 3 AOUT le dimanche,
PRESOEI OMENALDIA patxa plazan arratsaldeko ordu batetan / hommage aux prisonnier-e-s à 13h30 sur la place patxa ,
rue des tonneliers repas en soutien aux preso à14h00 presoen alde bazkaria tonneliers kalean.
Txartelak dira salgai Xilkon eta Aita Semeaken 20 euroetan et 12 euroetan haurrentzat. les tickets sont en vente à Aita Semeak et au Xilko 20 euro et 12 euro pour les enfants.

KAXU ! KONTUZ ! ez ahanz! :
Raise The Roof
Abuztuan azken ostirala izango da Baionako merkatuan larunbatarekin: abuztuak 30 goizeko 9etan pannecau zubian eta trakta banaketa egingo dugu merkatuan !
N'oubliez pas ! attention!
en aout le rassemblement du dernier vendredi du mois se fera un samedi matin le 30 aout à 9h du matin sur le pont pannecau et une distribution de tract aura lieu dans le marché!

samedi 28 juin 2008

UZTAILAK 6 JUILLET au local d'EPAISKAn

UZTAILAREN 6 AN igandearekin

EPAISKAREN LOKALEAN pannecau karrikan baiona txikian

*Batasunaren kontrako erasoa: militanteen – eta militanteen familiak- kontu blokeoa. Militanteei sustengua !*

‘Buffet–Apero’ eguerdietan

Txartelak dira salgai Aita Semeaken, Epaiskan, Xilkon :

5euro txartela sustenguz :

Bazkaria ,kafea eta lehen edariak bolontatez !

Gutunak izango dira lokalean izenpetzeko : batasunaren kontrako erasoa salatzeko .

DIMANCHE 6 JUILLET

au local d’ EPAISKA rue pannecau petit bayonne

*en soutien aux militants de batasuna et leurs familles ayant leurs comptes bancaires bloqués *

Buffet–Apéro à partir de midi

Billets en vente à Aita Semeak , Epaiska, Xilko :

Le billet 5 euro minimum même si vous ne venez pas :

buffet à volonté et café et premiers apéritifs aussi !

Lettre de protestation et de soutien seront disponibles à signer au local.

ongi etorri jose antonio !


ONGI ETORRI JOSE ANTONIO !

Bienvenue à Jose Antonio CAU , prisonnier politique basque libéré le 13 juin 2008 de la prison de PARIS LA SANTE aprés deux ans d'incarcération. Sa deuxième bienvenue c'est tenu hier le 27 juin 2008 devant la mairie de Bayonne.


Askatasunaren irakurketa:

Lehenik eta behin, ONGI ETORRI Jose Antonio!!!. Duela 2 urte, ziegetara eraman zintuzten beste euskal herritarrekin batera. Amore eman zenezan nahi zuten, baina argi dago ez dutela lortu; are gehiago, ez dute lortuko. Kolektiboaren aurkako neurriak sekulan baino gogorragoak dira, ankerrak, osasunak pot eginda egoera kaxkarrean diren presoak mugarik gabe sufriaraziz, auzitegi ustelen kondenei isilpeko heriotza zigorra ezarriz.

Azken hilabete luze hauetan behin eta berriz errepikatu dugun hitza ERREPRESIOARENA izan da. Hegoalde zein Iparraldean, ERREPRESIOA. Behin eta berriz ERREPRESIOA eta hori salatzeagatik, 27 kide auziperatuak izan dira Madrilen.

Irailetik, hilabetez hilabete ezker abertzaleko egituren lege-kanporatzetik hurbiltzen gira. Kalakako afera, Herrikoen afera eta orain kontu izoztuena.

Levertek mezu argi bat igortzen digu militanteak atxilotuz, preso sartuz edo ekonomikoki itoz, lege-kanporatzeen ondoriotara heldu nahi duela.

Baina ez du lortuko ! Lege-kanporatze eta pauso errepresibo guzien gainetik frogatu dugulako

HEMEN GINELA ! HEMEN GIRELA ! ETA HEMEN IZANEN GIRELA !!!

Bizi dugun sufrimendua eta amorru guzien jatorria parean adierazten diguten mespretxua da. Gatazkaren sustraia bera den mespretxu hori. Herri honen aldarrikapen zilegien aitzinean duten mespretxua. Gure eskubideen mespretxua. Gure izate hutsaren mespretxua. Hau guzia normaltasun demokratiko baten mozorropean eta beldurgarria den isiltasun mediatikoaren konplizitatearekin.

Haien mespretxuaren aitzinean gure duintasuna ezartzen dugu. Preso eta iheslariek borrokan erakusten duten hori. Senideek, eguneroko borrokan behin eta berriz, sostenguaren lanean segituz erakusten duten duintasuna. Kolpe eta etengabeko mehatxuen gainetik lanean darraiten militanteek erakusten duten duintasuna. Haien isiltasun hilgarriaren parean gure ahotsa altxatzen dugu. Egun guztiz entzunarazten dugun ahotsa.

Haien helburuak ez badituzte sekulan burutuko, Euskal Herria ez badute sekulan desagerraraziko, gure aldarrikapenak ez badira desagertuko zuei esker izanen da. Lan horretan tematu behar dugu. Etsi gabe !! gure esku da beste bide batzuk hartzera behartzea. Demokraziarena, errespetuarena, ezagutzarena… jarrai dezagun mobilizatzen eta antolatzen.


GORA EUSKAL PRESOAK!!!!!!!!!










mardi 3 juin 2008

ONGI ETORRI ASKATASUN BORROKALARIAK !

ADIO à tout le monde à Baiona ! ouverture du blog d'Askatasuna Baiona !


prochaine date du comité de soutien : EKAINAK 15 JUIN apero pintxo à Epaiska rue Pannecau Petit Bayonne , à partir de midi . Cet apéro est organisé pour récolter des diru pour renouveler les abonnements aux journaux des prisonnier-e-s politiques Basques de chez nous. PRESO BAT! EGUNKARI BAT !

Bientot le blog sera en Basque et aussi en français avec plus d'infos , de débats, de messages .

Agur eta milesker !