IOSU URIBETXEBARRIAri ELKARTASUNA !
ELGARRETARATZEA
nun: "CINQ CANTONS " bidegurutzean , baiona handian (victor hugo karrikaren bukaeran)
ordua :arratsaldeko 16etatik
ABUZTUAK 22 lehen elgarretaratzea eta gero egunero ordu berdinan.
ABUZTUAK 23an
10:00/16:00
BARAUALDIA
ESPANAko KONSULAren aintzinean baionan
'ta gero berriz elgarretaratzea "cinq cantons"bidegurutzean !
ABUZTUAK 23an
10:00/16:00
BARAUALDIA
ESPANAko KONSULAren aintzinean baionan
'ta gero berriz elgarretaratzea "cinq cantons"bidegurutzean !
SOLIDARITE avec IOSU URIBETXEBARRIA !
RASSEMBLEMENT
lieu: AU CINQ CANTONS , grand bayonne ( au bout de la rue victor hugo )
heure: à partir de 16h00
le 22 AOUT premier rassemblement et apres tous les jours à la même heure .
Le 23 AOUT
de 10:00 à 16:00
Jeûne de soutien devant le consulat d' espagne
puis à 16h retour au cinq cantons pour un deuxieme rassemblement !
Le 23 AOUT
de 10:00 à 16:00
Jeûne de soutien devant le consulat d' espagne
puis à 16h retour au cinq cantons pour un deuxieme rassemblement !
source le journal du pays basque:
Pays Basque
Après deux semaines sans s’alimenter, Iosu Uribetxebarria cesse sa grève de la faim
23/08/2012
Antton ROUGET
“Iosu Uribetxebarria a décidé de donner priorité à la vie.” C’est par
ces mots que Jon Garay, porte-parole du mouvement en faveur des droits
des prisonniers Herrira, a annoncé hier que le prisonnier gravement
malade avait décidé de mettre un terme à sa grève de la faim.
Après plus de deux semaines d’une grève de la faim entamée le
mercredi 8 août, I. Uribetxebarria, “dans une situation d’extrême
faiblesse”, n’a pas pu poursuivre son action. Entre espoir d’une
libération prévue par la loi et désillusions quotidiennes, le détenu,
atteint d’un cancer en phase terminale qui se bat pour profiter des
derniers instants de sa vie auprès de ses proches, a finalement renoncé…
à mourir avant d’être libre.
“Nous souhaitons montrer notre entier respect envers la décision
prise par Iosu Uribetxebarria”, a immédiatement réagi le mouvement
Herrira. Rappelant que la “loi et les droits de l’homme obligent” à la
“libération immédiate” du prisonnier gravement malade, Herrira s’est
aussi montré déterminé à poursuivre ses mobilisations. Ainsi, en plus
des rassemblements quotidiens sur le perron de l’hôpital, dans plusieurs
villes du Pays Basque Sud, ou encore à Hendaye et Bayonne, et des
importantes mobilisations qui se poursuivent dans les prisons, un vaste
mouvement de “jeûne de solidarité” va être lancé aujourd’hui. Devant
l’hôpital de Donostia, devenu depuis plus de deux semaines le symbole de
la lutte en faveur des prisonniers malades, Herrira a lancé un appel à
jeûner toute la journée. A Bayonne, le mouvement en faveur des droits
des prisonniers organise la même action devant le consulat d’Espagne.
Du côté du gouvernement espagnol, le procureur de l’Audience
nationale attend toujours des “informations complémentaires” avant de
statuer sur une éventuelle libération conditionnelle.
EPPK réagit au “cas Uribetxebarria”
“Ce ne sont pas des moments faciles ni agréables. L’heure est à la
lutte, nous vaincrons !” Dans un communiqué remis au quotidien Gara –
qui le publie dans son intégralité aujourd’hui – le Collectif des
prisonniers politiques basques (EPPK) est revenu, pour la première fois
depuis le début du conflit, sur la situation du prisonnier Iosu
Uribetxebarria.
Après avoir “chaleureusement” salué le détenu gravement malade hospitalisé à Donostia, l’EPPK indique dans son communiqué que le cas de Iosu Uribetxebarria est “le fidèle portrait” de la politique pénitentiaire menée par les Etats français et espagnol. Mais, “nous sommes au début de la fin”, prévient le collectif qui réclame la “libération immédiate” de tous les prisonniers malades et “le regroupement de tous les prisonniers au Pays Basque” pour qu’ils puissent participer au processus de paix.
Après avoir “chaleureusement” salué le détenu gravement malade hospitalisé à Donostia, l’EPPK indique dans son communiqué que le cas de Iosu Uribetxebarria est “le fidèle portrait” de la politique pénitentiaire menée par les Etats français et espagnol. Mais, “nous sommes au début de la fin”, prévient le collectif qui réclame la “libération immédiate” de tous les prisonniers malades et “le regroupement de tous les prisonniers au Pays Basque” pour qu’ils puissent participer au processus de paix.
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